Le chef d'entreprise et l'Etat providence

CMU

Appel à témoins

Nous recherchons des témoignages relatif à la CMU ( couverture sociale universelle)

Application de l'aide, dysfonctionnements  : personnes concernées ne percevant pas l'aide ou fraudes..., possibilité d'améliorer les système...

Contactez nous sur notre messagerie : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

la sécurité sociale reconnaît que 10% des personnes bénéficiant de la CMU fraudent. Afin de détecter les affilés qui dépassent les plafonds la sécurité sociale va scruter les comptes bancaires et réaliser des recoupements avec les déclarations. 

On imagine que les fraudeurs vont s'organiser en ouvrant des comptes au nom de tiers ou tout simplement en fourrant les lessiveuses de billets...

 

Voici les premiers témoignages reçus, ils sont édifiants

Une salariée conserve pendant deux ans sa CMU !

`Sans emploi Madame N  âgée de 20 ans est affiliée à la CMU et au RSA. Elle vit dans une zone franche. Un employeur décide de lui donner sa chance et de la former.  Il l'embauche en 2015. Tout se passe bien. En 2017, l'entreprise met en place la mutuelle pour les salariés conformément à la loi. La salariée refuse la mutuelle car elle utilise la carte CMU de sa mère. Pas question de payer un euro la consultation en dépit d'un salaire confortable !

L'employeur tombe des nues, il pensait que la CMU n'était pas accessible aux salariés et que la sécurité sociale aurait affilié sa salariée dès qu'il avait déclaré son emploi. Il nous contacte. Nous interrogeons la CPAM qui nous explique que les fichiers ne communiquent pas. Depuis deux ans, la salariée bénéficie de deux numéros de sécurité sociale. Sur notre intervention sa situation est régularisé.  

La salariée nous apprend que la situation est très répandue dans sa citée ! Les habitants qui multiplient les CDD conservent la CMU. Elle refuse de payer les soins hospitaliers aux urgences et part systématiquement sans payer. L'entreprise reçoit des saisies sur salaire. Il faudra deux ans pour que la salariée rentre dans le rang. 

 

BMW X5, sac Vuitton, foulard Hermes et CMU

Pauline M possède tous les attribus de la bourgeoise. Elle habite une ville cossue de la vallée de la Bièvre. Elle se présente chez l'orthodontiste de la ville et demande que sa fille soit prioritaire alors que le délai de prise en charge est habituellement de trois mois. Motif, un départ en croisière aux Antilles. L'orthodontiste refuse ce passe droit. Pauline l'accuse de la stigmatiser sous prétexte qu'elle est à la CMU.

Nous enquêtons. Pauline vit avec un conseil en gestion de fortune virtuose de l'optimisation fiscale et sociale. Profiter de la CMU lui apporte peu du fait de ses revenus très élevés, c'est une forme de sport, il aime trouver les failles et en profiter... 

 

Le shit, le filles et la CMU

La famille est originaire du Maroc. Le père est reparti en Algérie voici 10 ans.  Il a laissé sa carte de CMU à sa famille qui en profite tout en ayant organisé un trafic de drogue dans la cité. Un vrai supermarché. L'ainé qui dirige le trafic roule en Porsche ou en Ferrari avec de jolies filles bronzées. La mère sert de nourrice, le petit frère de guetteur. Oh j'ai oublié, la famille touche aussi le RSA et de multiples allocations...

 

L'héritier reste à la CMU

Jean Paul K ne travaille pas depuis des années et se plait à vivre des rentes de la protection sociale. Il connaît toutes les aides, ne paie pas son louer qui est pris en charge par les allocations familiales. En 2014, sa tante décède et lui laisse un héritage de 66700 €, frais de succession déduits. Il n'informe pas la sécurité sociale et continue de bénéficier  de la CMU. Un contrôle de son compte bancaire permettra de le confondre.